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Les organisateurs de séjours de rupture en quête de reconnaissance

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Les séjours de rupture concernent chaque année moins de 1 % des mineurs placés en France, par décision administrative ou judiciaire. En 2004, un rapport administratif préconisait une utilisation modérée de cet outil, tout en soulignant ses bénéfices éducatifs. Aujourd'hui, les organisateurs de séjours de rupture aspirent à une reconnaissance juridique et à une nouvelle image.
Voyage en catamaran, randonnée sur le chemin de Compostelle, immersion dans un village africain... Quelles que soient leur forme et leur destination, les séjours de rupture ont en commun d'éloigner temporairement un jeune de son milieu de vie, qu'il s'agisse de sa famille ou d'une structure éducative. « Le mot rupture ne doit pas être entendu dans un sens négatif, prévient Thierry Tichit, directeur du dispositif d'accueil diversifié (DAD) à Quimper (Finis-tère) (1), qui organise de tels séjours dans le sud-ouest de la France, en Espagne et au Sénégal (2). La rupture permet de provoquer un changement, une étincelle pour mettre un terme à de mauvaises habitudes. » Née dans les années 70, cette formule est encore la plupart du temps utilisée comme une solution de la…
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