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L'Uniopss favorable au RSA, à condition que les plus éloignés de l'emploi ne soient pas laissés de côté

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D'accord avec « l'objectif général visant à permettre que chaque heure travaillée apporte un supplément de revenu. [...] Mais le dispositif prévu reste très complexe et difficilement lisible. » Dans le débat ouvert par le « livre vert » sur le revenu de solidarité active (RSA) (1) l'Uniopss (Union nationale interfédérale des oeuvres et organismes privés sanitaires et sociaux) (2) vient d'émettre un « accord de principe », assorti cependant de nombreuses remarques. Tout d'abord, il ne faut pas oublier que la sortie de la pauvreté par l'emploi « est loin d'être toujours possible », rappelle l'Uniopss. Certaines personnes peuvent être trop âgées ou avoir « des difficultés personnelles tellement lourdes qu'elles ne peuvent travailler ». Pas question de les abandonner pour autant, « ni au regard des revenus d'existence, ni au regard de l'accompagnement en vue d'une insertion ». Car « personne ne peut être déclaré inemployable à vie ». Clairement, l'Uniopss veut éviter le « scénario catastrophe » dans lequel les pauvres qui travaillent auraient droit à un minimum social augmenté, tandis que ceux qui ne travaillent pas resteraient figés à un niveau bas. Elle préconise donc que le revenu…
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