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Accompagnement des jeunes majeurs isolés : un exemple des limites de la décentralisation

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La disparité des politiques des conseils généraux à l'égard des mineurs étrangers isolés jusqu'alors pris en charge par l'aide sociale à l'enfance et qui atteignent leur majorité pose la question de l'égalité des chances sur le territoire, souligne Damien Grethen, éducateur spécialisé dans un service de l'ASE (1). Sans compter que dans les départements où l'accompagnement s'interrompt à 18 ans, c'est tout le travail éducatif qui est nié.
« Les mineurs isolés étrangers, qui arrivent sur le territoire français sans papiers et sans représentant légal, sont pris en charge par les services de l'aide sociale à l'enfance (ASE) au titre de l'article L. 223-2 du code de l'action sociale et des familles, dès lors que leur minorité est prouvée, le plus souvent par expertise osseuse. Dans le département où j'interviens, le président du conseil général est désigné tuteur par le juge des tutelles. Les mineurs sont pris en charge par des maisons d'enfants à caractère social (MECS) financées par l'ASE. Ils bénéficient des même droits et devoirs que les autres jeunes confiés à l'ASE, à la différence qu'ils demandent l'asile…
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