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« La partie émergée de l'iceberg »

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Mi-redresseurs de torts, mi-défenseurs de la veuve et de l'orphelin, les contrôleurs des caisses d'allocations familiales sont chargés d'aller chez les usagers vérifier l'exactitude de leurs déclarations. Constituant le volet humain du contrôle, ils jouent un rôle essentiel - même si, par rapport au fruit des échanges informatisés de données, les résultats sonnants et trébuchants de leur intervention sont très relatifs.
L'antienne n'est pas nouvelle. Mais, avec l'extension de la précarité, soit aussi celle du coût de la solidarité, l'idée que les allocataires de l'Etat providence pourraient bénéficier indûment de la générosité publique revient sous les feux de l'actualité. De très nombreux usagers, en effet, tirent l'exclusivité ou une large partie de leurs ressources de prestations servies par les caisses d'allocations familiales (CAF). Les intéressés ont-ils bien tous leurs droits, mais rien que leurs droits ? Affirmant, d'un même mouvement, sa vocation sociale et sa non moins grande rigueur, c'est en ces termes qu'il y a une dizaine d'années, la caisse nationale des allocations familiales (CNAF) a été conduite à poser la question du contrôle…
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