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Les ONG sociales veulent une agence des droits fondamentaux dotée de réels pouvoirs

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La création prochaine d'une « nouvelle agence pour remplacer l'Observatoire européen des phénomènes racistes et xénophobes (1) ne doit pas entraîner une diminution de l'attention accordée à la lutte contre le racisme et la xénophobie », avertit la Plate-forme des organisations non gouvernemantales (ONG) du secteur social (2) dans sa réponse à l'appel à contributions sur le mandat de la future Agence des droits fondamentaux (3). « Personne n'a intérêt à mettre sur pied une entité bureaucratique supplémentaire qui n'amènerait aucun changement concret et qui ne disposerait pas des moyens nécessaires à l'évaluation et à la résolution des problèmes », souligne Anne-Sophie Parent, présidente de la Plate-forme. Pour les ONG du secteur social, une des missions clés de l'agence devrait être de « contrôler systématiquement la législation et les politiques européennes - externe et interne - afin que celles-ci soient conformes aux normes relatives aux droits fondamentaux ».Notes(1)  Voir ASH n° 2363 du 11-06-04.(2)  Plate-forme européenne des ONG du secteur social : avenue des Arts, 43 - B-1040 Bruxelles - Tél. 00 322 511 37 14 - www.socialplatform.org.(3)  Voir ASH n° 2380 du 5-11-04.
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