Recevoir la newsletter

Le Samu social en pleine "crise de croissance" sur fond de crise sociale

Article réservé aux abonnés

Après l'association Emmaüs qui a vécu un mouvement social inédit début mars, c'est aujourd'hui au tour du Samu social de Paris de subir depuis mercredi 31 mars, pour la première fois de son histoire, une grève de ses salariés, ou du moins d'une partie d'entre eux, qui aspirent à faire entendre leurs revendications, multiples, qui portent aussi bien sur leurs conditions de travail et leur (absence de) statut que sur leur rémunération.Parti de la permanence du 115, le mouvement s'est étendu aux équipes chargées des autres missions du groupement d'intérêt public (GIP), et en particulier les maraudes, a reconnu auprès du site des ASH la direction du Samu social de Paris (SSP), en assurant cependant que l'impact de la grève restait très limité sur les usagers, avec environ 80 % de réponse aux appels reçus au 115 et seulement un à deux véhicules de maraude immobilisés, le reste des structures, telles que les accueils de jour, fonctionnant normalement.Selon nos informations, seuls deux permanenciers sur six étaient à leur poste jeudi soir vers 22 h, le directeur des opérations, Thomas Marie, et le reponsable juridique du GIP, Christophe Bouvot, ayant eux-même mis la main à la pâte durant…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Insertion

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur