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Du burn-out à la scène, la résilience créative de Johanna Rouillon

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Machines de guerre, un spectacle multidisciplinaire sur "la première pandémie psychiatrique" : le burn out. 

Crédit photo capture vidéo du teaser sur les Machines de guerre
[PORTRAIT] Ancienne coordinatrice dans une structure d’insertion, Johanna Rouillon a cessé de travailler en 2020 après un épisode d'épuisement professionnel. De son expérience est née la pièce Machines de guerre, un projet artistique hybride destiné à briser un tabou dans le secteur social et à mieux repérer les situations à risque.
 
 

Le 8 février 2020. Cette date, indélébile, est marquée au fer rouge dans l’esprit de Johanna Rouillon. Tatouée en caractères gras sur les étagères de sa mémoire. Bien sûr la chute a été progressive. Il y a eu la fatigue extrême, la dévalorisation, l’anxiété, le corps qui lâche… Mais le 8 février 2020 représente un point de rupture. Il sonne son arrêt de travail définitif pour burn-out. Coordinatrice dans une structure d’insertion par le logement depuis 2013, Johanna Rouillon s’occupait jusqu’alors d’encadrer…
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