Le 8 février 2020. Cette date, indélébile, est marquée au fer rouge dans l’esprit de Johanna Rouillon. Tatouée en caractères gras sur les étagères de sa mémoire. Bien sûr la chute a été progressive. Il y a eu la fatigue extrême, la dévalorisation, l’anxiété, le corps qui lâche… Mais le 8 février 2020 représente un point de rupture. Il sonne son arrêt de travail définitif pour burn-out. Coordinatrice dans une structure d’insertion par le logement depuis 2013, Johanna Rouillon s’occupait jusqu’alors d’encadrer…
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