« Lorsque je dis : “mon stylo pleure”, il s’agit d’une personnification », rappelle Maria Maillé, professeure de français, à l’intention des dix têtes masquées chargées de trouver une figure de style dans un célèbre poème de Verlaine. « C’est impossible, Madame, un stylo qui pleure », rétorque aussitôt, d’un ton mi-provocateur mi-amusé, un des élèves de la classe de 4e. Des rires et des moqueries fusent, plus ou moins audibles, dans la salle de cours. Alors qu’il déambule lentement entre les tables, Olivier Niglis, éducateur sportif, intervient en plaisantant : « Avec ce que…
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