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#Metoosansvoix pour se faire entendre

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Les enfants en situation de handicap non verbaux ont 3,5 fois plus de risques d’être victimes de violences physiques et/ou sexuelles que les autres. « Ce sont des cibles de choix pour les agresseurs », témoigne Khlidja, mère d’un garçon non oralisant. Il y a un peu plus d’un mois, avec une autre maman, elle a lancé le mouvement #Metoosansvoix. Objectif : développer l’accès à la communication alternative et améliorée (CAA) qui, grâce à des classeurs à base de pictogrammes et des applications ou des ordinateurs avec synthèse vocale, complètent ou remplacent la parole ou l’écriture. Un peu à l’instar du braille pour les non-voyants. Malgré sa validation par la convention de Genève, cet outil reste très peu utilisé en France. En janvier dernier, c’est pourtant la CAA qui a permis à un adolescent de 14 ans atteint d’une déficience intellectuelle sévère et de retards psycho­moteurs de dénoncer auprès de sa mère (formée à cette méthode) les agressions sexuelles qu’un éducateur de son institut médico-éducatif lui faisait subir.
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