Gérard Creux : Les personnes accompagnées vivent un rapport de domination plus ou moins conscient avec les travailleurs sociaux. Les professionnels ont beau se garder de donner des leçons, la personne est davantage dominée qu’actrice de son parcours. Je suis d’ailleurs assez dubitatif lorsqu’il s’agit d’empowerment, dans la mesure où les personnes accompagnées sont déjà, forcément, et avec des guillemets, en position de « faiblesse ». Que ce soit une faiblesse liée à un handicap, à une situation économique, à un état psychologique…
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