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Assistance sexuelle aux personnes handicapées : l'Essonne fait un pas en arrière

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Le conseil général de l'Essonne a adopté lundi 25 mars le lancement d'une "réflexion sur la formation des professionnels" en matière d'éveil à la sexualité et d'accompagnement des personnes lourdement handicapées, dans le cadre de son schéma départemental des personnes handicapées, dont il a cependant supprimé la notion d'assistant sexuel, critiquée jusque dans les rangs de sa majorité.Alors qu'il s'était félicité, vendredi dernier, en commun avec l'Association des paralysés de France (APF), de cette initiative inédite en France, le président socialiste de l'exécutif essonien, Jérôme Guedj, a en effet dû édulcorer son texte, après avoir essuyé les foudres de plusieurs élus de son propre camp la semaine dernière, rapportait alors Le Parisien.
Assistance ou prostitution ?
"L'assistanat sexuel est une forme de prostitution", assénait en particulier la députée (PS) de l'Essonne, Maud Olivier, qui se disait, dans un communiqué, "en total désaccord avec la proposition de Jérôme Guedj d'organiser au conseil général de l'Essonne une réflexion sur un statut d'assistant sexuel"."Mettre en place un service de nature sexuelle impliquerait de prévoir une exception à la loi sur le proxénétisme",…
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