Abandonner le « virage domiciliaire » de l’accompagnement du vieillissement et lui préférer un « renforcement du soutien à domicile », c’est ce que préconise l’Igas dans un rapport sur les lieux de vie des personnes en perte d’autonomie. Une ambition qui passe, entre autres, par la création de 100 000 places de logements en autonomie d’ici 2030.
La multiplication des rapports sur le vieillissement de la population française et l’insuffisance des moyens déployés pour y faire face ont de quoi donner des sueurs froides au gouvernement. Après le Parlement, qui vient de voter une loi sur le bien vieillir qui, de l’aveu même de ses conceptrices, ne suffira pas à satisfaire les besoins à venir si l’Etat n’y adjoint pas les moyens financiers nécessaires, et le Cese (Conseil économique, social et environnemental), qui…
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