Recevoir la newsletter

L'Unisda déplore la parution de l'arrêté organisant le dépistage très précoce de la surdité

Article réservé aux abonnés

Un risque de "conséquences désastreuses" : l'Union nationale pour l'insertion sociale du déficient auditif (Unisda) a vivement réagi à la parution de l'arrêté du 23 avril "relatif à l'organisation du dépistage de la surdité permanente néonatale" au Journal officiel du 4 mai.
Sidération liée à l'annonce du handicap
Ce texte prévoit de proposer "systématiquement" aux parents d'un nouveau-né de réaliser un examen de repérage des troubles de l'audition avant la sortie de la maternité.Et lorsque cet examen n'a pas pu avoir lieu "ou n'a pas permis d'apprécier les capacités auditives de l'enfant", l'arrêté recommande de réaliser des examens avant la fin du troisième mois de l'enfant.Une démarche à laquelle est opposée l'Unisda qui met d'abord en garde contre un "risque majeur" lié au dépistage ultra-précoce à la maternité, à savoir "la sidération liée à l'annonce du handicap (ou de sa présomption) [qui] peut empêcher l'installation du premier lien mère/enfant et l'absence d’entrée en communication".
Eviter le discours médical "exclusif"
L'Unisda juge "plus judicieux d'envisager un dépistage vers l'âge de trois mois, dans le cadre des visites obligatoires", et insiste sur la mise en place…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Autonomie

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur