Sur le thème "Former pour quelle solidarité en travail social ?", l’Interrégionale des formatrices et formateurs en travail social (IRE) organise, les vendredi 7 et samedi 8 juillet, ses journées d’étude à Arras. L’occasion de revenir sur les travaux menés par ce collectif, né il y a un an, avec l’une de ses membres, Aurélie Rabault, formatrice à Nantes.
Quel premier bilan peut-on dresser de l’action de l’IRE ?Nous avons organisé deux journées de travail, l’une à Lille le 9 décembre 2016 et l’autre à Nantes le 27 janvier dernier. Cela nous a permis de nous rassembler et de nous inscrire dans la continuité du travail engagé à Paris il y a un an, en particulier sur la question des stages et de l’alternance intégrative. Nous avons écrit à ce propos qu’il faut penser l’immersion professionnelle dans la durée, pour permettre un engagement significatif, pour accéder à la complexité des situations, avec des conditions favorables à la réflexivité, c’est-à-dire la capacité à questionner son action et son positionnement.
La question que nous nous posons est de savoir si les stages vont continuer à jouer leur rôle dans le cadre de la refonte des diplômes. Ce qui se profile…
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