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Participation citoyenne aux politiques de solidarité : l’Igas demande une grande loi de revitalisation

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Les espaces de décision ont été ouverts largement aux bénéficiaires des politiques de solidarité. Du moins, sur le papier.

Crédit photo Logo du Conseil National des Personnes Accueillies/Accompagnées (CNPA)
Imparfaite, la participation des citoyens au débat public sur l'action sociale et la solidarité, juge l’Inspection générale des affaires sociales dans un rapport. Pour lui redonner de l'efficacité, l’Igas demande un aménagement radical des conditions d’expression des premiers concernés.
Depuis la fin du siècle dernier, la « participation citoyenne » a pris des airs de martingale que les gouvernements brandissent pour incarner le renouveau démocratique. Sur les seuls périmètres de l’action sociale et des solidarités, les initiatives en ce sens se sont multipliées lors du dernier quart de siècle : de la loi contre les exclusions de 1998 qui proposait de placer les premiers concernés au cœur de l’élaboration des stratégies de lutte contre la paupérisation jusqu’au « choc de participation » promis par la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté de 2019, les initiatives pour faire participer les citoyens au débat ont été…
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