Les annonces de la Première ministre Elisabeth Borne, à l’issue du comité interministériel à l'enfance du 20 novembre, n’ont pas rassuré le secteur. La plupart des voix dénoncent des mesures hors sol et fustigent le remplacement du « pécule » par une aide de 1 500 € à la majorité des jeunes pris en charge par l'aide sociale à l'enfance (ASE).
Ils attendaient un plan Marshall et l’avaient rappelé lors d’une conférence le 16 novembre dernier. Les acteurs de l’enfance ont obtenu un plan de lutte contre les violences faites aux mineurs, et une série de mesures éparses en faveur des enfants protégés.Insuffisant pour la plupart d’entre eux. Et surtout, déconnecté, à leurs yeux, des enjeux et des réelles problématiques de la protection de l’enfance.
Les plus prudents…
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