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Introduction

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À la croisée de l’éthique, des sciences humaines et sociales, de la philosophie, de la recherche scientifique, les questionnements sur les refus de soins nécessitent de s’interroger sur le domaine des « soins ». Qu’est-ce que soigner ? À quoi les termes « soigné » et « soignant » correspondent-ils ?Un tel questionnement aidera à distinguer ce qui entre dans le cadre du refus de « soins » ou de « traitement », au sens juridique, par rapport à une approche humaniste des « soins ».Comment la dimension d’éducation thérapeutique, qui a un cadre législatif depuis 2009 (L. n° 2009-879, 21 juill. 2009, art. 81 ; Code de la santé publique [CSP[, art. L. 1161-1 et s. ; Ord. n° 2020-1407, 18 nov. 2020), s’insère-t-elle ?Partant de la notion de « soins », il s’agit aussi de s’interroger sur la relation qui se construit autour d’une exigence qui est déontologique : la qualité de soins, qui se doivent d’être « attentifs et consciencieux ». Comment la qualité relationnelle s’accorde-t-elle avec le geste technique (J. Pellissier, « Tout soin est d’abord une relation », ASH 3-07-2020) ? La personne, ce qu’elle exprime, est-elle perçue comme une source d’information ou le professionnel est-il le « sachant »…
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CHAPITRE 1 - ENJEUX, SOURCES, DÉFINITIONS, NOTIONS DE « SOINS » ET DE « CONSENTEMENT »

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