A l'occasion de la Journée du refus de la misère, le CNLE affiche ses priorités
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 14.06.2023Par : Emmanuelle ChaudieuLecture : 3 min.
Dans un voeu formulé à l'occasion de la Journée mondiale du refus de la misère, le Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale s'est déclaré "très préoccupé par la stigmatisation et les discriminations croissantes subies par les plus pauvres".Le CNLE a en effet souhaité "prendre sa part dans [la] mobilisation [du 17 octobre] et attirer l'attention du gouvernement sur plusieurs sujets", au premier rang desquels donc "les préjugés et la méfiance [qui] semblent se renforcer" à l'égard des plus précaires. Les membres du conseil déclarent ainsi soutenir la demande d'ATD Quart monde pour que "les discriminations [visant] des personnes du seul fait de leur situation de précarité sociale [soient] interdites par la loi" et demandent au gouvernement "d'envisager l'introduction dans la législation française du critère de précarité sociale comme motif prohibé de discrimination".
Revoir la politique d'hébergement
Le CNLE appelle par ailleurs à "une mise en place rapide" des résolutions prises lors de la conférence sociale de l'été dernier. Il souhaite également que "les discussions en cours entre des associations de lutte contre la pauvreté et l'exclusion…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques