Recevoir la newsletter

Lieux de vie informels

Article réservé aux abonnés

L’emprise sur les publics en grande précarité qui vivent au sein de bidonvilles se révèle omniprésente dans le quotidien des travailleurs sociaux du secteur. Pour leur permettre d’assurer leur mission d’insertion, plusieurs formations proposent des outils d’identification et de signalements.
« Lorsque j’ai intégré mon équipe, mes collaborateurs m’ont prévenue, confie Mélissa Ould Mohammed, responsable, depuis deux ans, de l’antenne du Val-de-Marne de l’association Acina (Accueil, coopération, insertion pour les nouveaux arrivants). On m’a avertie qu’il y avait de la méfiance, qu’en raison de la présence de chefs, il fallait faire attention à ce que l’on disait et aux personnes que l’on rencontrait. Je venais pourtant déjà du secteur mais la problématique n’avait jamais été abordée dans mon ancien job. » Peu visibles et mal documentées, les situations d’emprise et de traite des êtres humains s’immiscent dans le quotidien des professionnels en charge de l’accompagnement social des publics qui vivent en squats et en bidonvilles. Conséquence : « Lorsque le travail social ne fonctionne pas, cela peut donner l’impression que cela tient à la singularité…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Formation

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur