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Choisir sa fin de vie

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Sociologue, directeur général de la Silver Valley, à 43 ans, Nicolas Menet se lance un autre défi : devenir député. Alors qu’une candidature se dégage fin 2021, il apprend qu’il est atteint d’un cancer avancé du cerveau. Condamné, il décide de rester acteur de sa fin de vie jusqu’au bout. Son livre posthume témoigne de sa volonté de choisir « d’envisager sa mort comme un ultime projet ». Inventer des stratégies, suivre un parcours initiatique et alimenter le débat à travers son expérience, loin des avis tranchés entre pro et anti-euthanasie. Au-delà de la défense du système de santé fragilisé, il plaide pour le droit à l’euthanasie sous conditions. Lui a demandé une sédation profonde jusqu’à son décès. Un récit bouleversant. Peu après sa mort, la convention citoyenne sur la fin de vie se prononçait majoritairement pour l’euthanasie ou le suicide assisté.« Faire le deuil de soi », Nicolas Menet, éd. Le Cherche Midi, 18,90 €.
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