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Un complément au travail social historique

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La majorité des professionnels diplômés et expérimentés qui tentent le travail indépendant souhaitent offrir des réponses sur mesure aux publics, en proposant, par le biais de l’innovation sociale, des solutions impossibles à engager dans les conditions actuelles de l’offre de services.Harcèlement, burn-out … Dans nos formations, nous observons l’arrivée de personnes en souffrance qui désapprouvent certaines pratiques. Mais on ne peut pas s’installer en libéral juste pour arrêter le salariat. En se lançant à son compte, le professionnel quitte le confort d’un emploi, la sécurité d’un revenu et la protection d’une convention collective. L’entrepreneuriat social n’a rien à voir avec celui classique. Ces entreprises ne doivent pas prévoir d’objectifs financiers. L’identification de l’impact social s’avère crucial, à savoir mettre leurs compétences au service des publics, sinon l’entrepreneur ne trouvera pas d’activité.Côté communication, le bouche-à-oreille reste le meilleur vecteur, ce qui impose au professionnel une qualité d’accompagnement et une éthique. Il ne peut pas se cacher derrière l’« obligation de moyens » car la responsabilité de l’activité lui revient. La relation choisie…
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