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Le recueil de la parole de l’enfant doit être mené avec une vigilance particulière et répondre à des règles précises. Parce que ce type de maltraitance présente des caractéristiques uniques tant pour celui qui en témoigne que pour celui qui reçoit sa parole.
Côté victime, le caractère intime et dégradant des violences, les sentiments ressentis (honte, culpabilité) et les liens avec l’agresseur (souvent un proche) rendent la révélation encore plus difficile. D’autant plus que le mode opératoire suivi par l’auteur des faits (isolement, inversion de la culpabilité, dévalorisation, imposition du silence, mise en place de l’impunité…) suppose d’être déconstruit avant tout dévoilement.Côté professionnel, le choc provoqué et les représentations personnelles peuvent, malgré l’expertise, entraîner des réactions inhabituelles et incontrôlées. En cas de déclaration spontanée lors d’une activité, dans un lieu collectif ou devant des témoins, mieux vaut, après avoir clairement signifié à l’enfant qu’on l’a entendu, proposer un rendez-vous dans un lieu adapté, le temps d’assimiler l’information. Il s’agit aussi de répondre aux besoins fondamentaux de l’enfant…
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