Recevoir la newsletter

Des réactions difficiles à décrypter

Article réservé aux abonnés

Pour atténuer la souffrance qu’ils éprouvent, les enfants victimes de violences sexuelles déclenchent inconsciemment des mécanismes neurobiologiques. Exposé à une violence insupportable à laquelle ils ne peuvent échapper, et donc à un stress extrême, leur circuit neuronal « disjoncte » grâce à la sécrétion d’hormones. Cette « mise à l’arrêt » les préserve d’un risque cardiovasculaire vital et provoque des réactions multiples.
Le problème est que, variant d’une victime à l’autre, d’intensité inégale, éventuellement communs avec d’autres traumatismes et pas toujours conformes à ce que l’on pourrait attendre, les signes présentés par les enfants ayant subi des violences sexuelles peuvent être déstabilisants et mal interprétés. Ils sont donc difficiles à relier aux traumatismes et à détecter par les adultes comme par les mineurs. D’autant que, pris individuellement, ils ne sont pas forcément déterminants. C’est leur caractère soudain, inhabituel, récurrent ou en décalage avec l’âge de l’enfant qui peut mettre la puce à l’oreille. La concomitance de plusieurs des comportements observés doit alerter, mais ne constitue pourtant qu’un faisceau d’indices…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Formation

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur