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« Au nom d’une certaine laïcité »

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Pour l’attaché d’administration hospitalière Salim Kebaili, les ESMS sont des structures inclusives… à l’exclusion des croyances religieuses.
La charte de la laïcité de 2006 impose une stricte invisibilité de tout signe religieux dans les établissements publics. Les ESMS publics sont naturellement concernés par cette obligation de neutralité cultuelle qui s’impose également à l’ensemble de leurs agents. Elle ne s’applique en revanche pas à leurs usagers.Ces derniers, souvent issus de pays où les ressorts du religieux déterminent fortement tant leur identité que leur bien-être intérieur, se retrouvent alors parfois isolés et non compris face à des professionnels démunis sur les questions spirituelles et religieuses. La loi du 15 mars 2004 encadrant, en application du principe de laïcité, le port de signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse dans les écoles, collèges et lycées publics, suivie par celle du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation de son visage dans l’espace public, en référence au port de la burqa par certaines femmes musulmanes, ont eu pour effet de durcir la loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation…
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