Aux côtés de deux professeures, l’une canadienne et l’autre néo-zélandaise, le chercheur belge Michel Vandenbroeck s’attache à trouver des voies pour « résister » à la marchandisation de la petite enfance. Leur ouvrage scrute les politiques en œuvre dans de nombreux pays afin de donner des pistes d’action aux acteurs du secteur.
Actualités sociales hebdomadaires - Comment cet ouvrage collectif est-il né ?
Michel Vandenbroeck : Environ un an avant sa parution, Peter Moss et Guy Roberts-Holmes, des chercheurs londoniens, ont publié un livre sur le néolibéralisme et son impact sur le monde de la petite enfance. Joanne Lehrer, Linda Mitchell et moi-même avions l’idée d’écrire sur le même sujet. Nous avons alors revu notre projet, estimant que le secteur avait besoin d’éléments pour construire la suite. Le travail de Peter Moss et Guy Roberts-Holmes s’appuie également sur les exemples du monde anglophone et nous voulions élargir…
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