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« Toutes les informations n’ont pas à être livrées »

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Au quotidien, à de nombreuses occasions, le partage d’une information à caractère secret intervient. Que ce soit lors des échanges informels entre travailleurs sociaux à propos des personnes reçues, lors des commissions de réflexion ou d’orientation sur les situations… la question des informations qui peuvent être partagées ou non se pose fréquemment. Plusieurs éléments me permettent en tant qu’encadrant de proposer des pistes de réponse face à cette difficulté. La première est que toutes les informations n’ont pas à être livrées avec précision. Par exemple, lors des réflexions sur l’accompagnement socio-professionnel des allocataires du RSA, il me suffit de savoir qu’une personne est en arrêt maladie et qu’à ce titre elle ne peut pas chercher un emploi durant les mois à venir. Je n’ai pas besoin de savoir de quelle maladie il s’agit. Cette information a pu être donnée au travailleur social qui doit la garder pour lui. En outre, il n’est pas opportun de connaître tout « l’historique » d’une personne, mais uniquement les éléments de sa situation qui permettront la prise d’une décision. Je ne compte plus les notes sociales à rallonge reçues pour des demandes d’aide financière qui commencent,…
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