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La participation, un droit fondamental

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De la Nouvelle-Zélande à l’Ecosse, la mise en œuvre des conférences familiales est associée à de profondes transformations sociales et sociétales, comme l’émergence de la notion de « participation des familles ». Retour d’expérience avec deux experts anglo-saxons.
Pour Paul Nixon, il n’y a pas de doute. L’obligation inscrite dans la loi néo-zélandaise de proposer des conférences aux familles a permis une profonde transformation de la protection de l’enfance. « La clé est de changer la manière dont sont prises les décisions. C’est ce que produisent les conférences familiales. En changeant la manière de décider, on change les résultats », insiste-t-il. Cet ancien éducateur a commencé à mettre en place des conférences en Angleterre dès le début des années 1990, partant du constat qu’il y avait « une approche bien trop basique pour placer les enfants », qui ne fonctionnait pas.Désormais basé en Nouvelle-Zélande, où est né le dispositif, il y observe les pratiques. « En plus de trente ans, elles ont conduit à une importante baisse du nombre d’enfants placés, de jeunes incarcérés et de procédures judiciaires », assure-t-il. Et pour cause : dans ce…
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