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Un marché peu commun

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En 1928, à Paris, une conférence a posé une première définition internationale du travail social. Depuis, les temps ont bien changé : on est passé du registre de la « charité » à celui de la professionnalisation. Mais qu’ont en commun les travailleurs sociaux français, italiens, allemands, finlandais, polonais ou anglais ? Ecrit par des spécialistes de 15 pays européens, cet ouvrage très documenté a le mérite d’analyser à la fois les disparités héritées de l’histoire et les similitudes actuelles. Car si la désignation des métiers, les pratiques, la formation divergent, les problématiques convergent sous les coups de la mondialisation, du vieillissement de la population, de la montée de la précarité, des inégalités territoriales, de l’exclusion, de la privatisation, de la managérialisation, etc. « Le travail social n’est plus considéré comme un investissement pour le progrès social mais comme une dépense, qui justifie une rhétorique fondée sur l’activation des publics et la participation », pointent les auteurs. Ils rappellent que « la construction du travail social en Europe se confond avec l’évolution des politiques sociales, dans le cadre des Etats-providence ». Ce qui, selon le…
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