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Moi, Président social

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La campagne pour le premier tour des élections présidentielle est terminée. Sur les plateaux de télévision ou ailleurs, les candidats ont parlé d’immigration, de sécurité, de pouvoir d’achat, d’Europe… Rien, ou si peu, sur l’accompagnement des personnes les plus fragiles. Les travailleurs sociaux sont aussi transparents que leur public. Il suffit de lire les programmes pour s’apercevoir qu’ils n’y figurent pas.Certes, à une des propositions du Rassemblement national de créer un centre éducatif fermé par département ou à une autre préconisation des Républicains d’abaisser la majorité pénale de 18 à 16 ans, les candidats de gauche suggèrent des mesures davantage axées sur l’éducation que la répression, la notion de « care », l’intérêt pour l’autre, n’émergent pas. La méconnaissance du secteur s’avère même parfois totale. Ainsi Valérie Pécresse promet-elle de « renforcer et confier » aux départements « les services de protection maternelle et infantile, de la protection de l’enfance ». Ce qui est déjà le cas.Et le bilan du quinquennat du candidat sortant ne sauve pas la mise. Malgré le fameux « quoi qu’il en coûte » déployé pendant la crise sanitaire, les plus précaires continuent de…
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