Recevoir la newsletter

La solidarité a un prix

Article réservé aux abonnés

Créée en 1983, la Journée mondiale du travail social permet de braquer, une fois dans l’année, les projeteurs sur les professionnels. L’occasion de rappeler la crise des vocations sans précédent que traverse le secteur social et médico-social et l’urgence d’apporter des réponses. A commencer par une vraie reconnaissance.
Cela ne va pas changer le monde, il y a tellement de problèmes », pointe Didier Dubasque à propos de la Journée mondiale du travail social, le 15 mars. Pour autant, bien que cette manifestation soit restée longtemps confidentielle en France, l’ancien président de l’Association nationale des assistants de service social (Anas), auteur du blog « Ecrire pour et sur le travail social », reconnaît que l’initiative lancée en 1983 par la Fédération internationale des travailleurs sociaux a eu du bon : « On était tellement peu visibles, cela a eu le mérite de nous forcer à nous mobiliser. »Aujourd’hui, les professionnels sont dubitatifs. Porté, entre autres, par le Haut Conseil en travail social (HCTS), le mouvement s’est institutionnalisé et les échanges de pratiques avec d’autres pays restent minoritaires. Surtout, le secteur social…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

L’événement

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur