« Le travail de nuit peut altérer, de manière plus ou moins grave, la santé du salarié, allant de troubles du sommeil au risque de cancer ou encore à l’accident vasculaire cérébral », énonce l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), dans un de ses documents de prévention. Malgré ce constat alarmant, les établissements semblent encore peu nombreux à se pencher véritablement sur cette problématique. Une étude nationale de 2011 estimait à 40 000 le nombre de salariés travaillant de nuit dans la branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée non lucrative dont 70 % dans le secteur des personnes âgées,…
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