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Aux marges du secteur, des rouages essentiels

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Cuisiniers, aides ménagères, coiffeurs, électriciens… S’ils ne sont pas diplômés du travail social, leur présence au contact des personnes accompagnées est révélatrice des évolutions du secteur médico-social. Une ouverture vers l’extérieur parfois obligée pour pallier le manque de professionnels.
Boris Couilleau a créé Titi Floris en janvier 2006. Une société coopérative spécialisée dans le transport de personnes en situation de handicap ou dépendantes. Seize ans plus tard, son directeur ne compte pas moins de 2 000 salariés dans une quinzaine de départements du Grand Ouest. Aucun d’entre eux n’est travailleur social. Et pourtant, au quotidien, ses chauffeurs sont au contact des bénéficiaires de l’action sociale. Simple formalité ? Pas vraiment. « Il faut savoir gérer les groupes et les handicaps des uns et des autres, faire preuve de bienveillance, être rassurant, savoir adapter sa posture aux personnes transportées, explique le PDG. Nos chauffeurs peuvent être confrontés à de l’agressivité. A nous de créer un cocon sécurisé et de bien respecter notre positionnement. »Titi Floris transporte autant des personnes à mobilité réduite que d’autres…
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