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Logement d’abord : le discours publicitaire ne résiste pas au réel

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Le « Logement d’abord » représente un progrès dans l’amélioration des conditions d’habitat des publics concernés, selon Yvan Grimaldi. Mais avec de moins en moins de logements à disposition, de plus en plus de demandeurs en attente et des travailleurs sociaux toujours plus confrontés à un manque de moyens, l’auteur déplore que ce droit demeure avant tout théorique.
« Personne ne peut s’opposer aux principes du “Logement d’abord” puisque, à l’évidence, il vaut mieux vivre chez soi que chez les autres, “sous réserve d’un accompagnement social exigeant quand on a vécu dans la rue”, dit-on dans le métier. D’ailleurs, la fondation de l’Armée du salut en France n’a pas imaginé autre chose que sa consœur finlandaise, très impliquée dans cette nouvelle approche, puisqu’elle aussi a transformé ses vieux dortoirs en logements. Que ce soit en pensions de familles, en résidences sociales, par de l’intermédiation locative (IML) ou de l’accompagnement vers et dans le logement (AVDL). Ces nouveaux modes d’accompagnement et d’habitat témoignent que notre fondation reconnaît le logement comme un droit fondamental. Donc, oui, le “Logement d’abord” représente…
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