« Les intervenants extérieurs apportent tellement : ils remettent en question nos pratiques, insufflent de la vie à l’établissement et nous permettent de ne pas rester en vase clos, même pour les résidents qui ne sortent pas. » Pour Oriane Thomassin, directrice de la Maison Yersin à Paris, les solliciter n’est pas un luxe, c’est une nécessité, qu’ils soient socio-esthéticienne, sophrologue, art-thérapeute, professeur de gymnastique douce ou encore de tai-chi. Dans cet établissement des Petits Frères des pauvres, composé d’une pension de famille, d’une petite unité de vie et d’une résidence…
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