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La tentation de l’hégémonie

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Loin d’être aussi connu du grand public que d’autres géants asso­ciatifs historiques tels la Croix-Rouge, le Secours populaire, Emmaüs ou APF France handicap, le Groupe SOS est pourtant l’une des structures les plus actives en France. Un développement favorisé, en majorité, par des financements publics en provenance des ministères, des agences régionales de santé et des collectivités territoriales. Pour assurer une telle expansion, le groupe revendique une posture totalement désintéressée : « Sans actionnaires, non lucratif, les résultats du Groupe SOS sont 100 % réinvestis pour créer ou pérenniser des actions sociales et environne­mentales », peut-on lire sur son site. Une telle réussite méritait bien qu’on lui consacre la Une de notre magazine. Mais d’autres faits nous ont poussés à creuser le sillon de cette enquête. Son président, Jean-Marc Borello, numéro deux du bureau exécutif de La République en marche (LREM), dispose d’une indéniable influence sur les réflexions du parti au pouvoir en matière d’affaires sociales. Son groupe est également emblématique des profondes mutations du monde médico-social, transformant les modes de gestion des associations en s’inspirant du secteur…
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