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Les identifier afin de les endiguer

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La violence est-elle inhérente au travail social ? Oui, à en croire les nombreux professionnels à qui nous donnons la parole cette semaine. Des violences protéiformes souvent peu comptabilisées, comme le déplore l’Observatoire national des violences en milieu de santé. Lequel invite à ne surtout pas banaliser les agressions, qu’elles soient physiques ou verbales, au risque de provoquer une réaction en chaîne d’effets délétères : absentéisme, démotivation, baisse de la qualité des soins, etc. (page 8). L’acceptabilité de cette violence dans la prise en charge de publics variés doit être considérée avec circonspection. Chaque structure ou service est invité à s’emparer de cette problématique en fonction de son identité propre, de ses problématiques. Et à tracer une ligne, rouge de préférence, entre ce qui est considéré comme une manifestation émotive, d’une part, et la volonté de « mal agir », de l’autre. Un enfant psychotique peut n’avoir aucun autre moyen que de mordre ou de griffer pour entrer en relation. Il n’en va évidemment pas de même quand un père maltraitant menace un éducateur spécialisé dans l’exercice de son métier. La violence n’est pas le monopole des usagers, comme le…
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