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Un métier capital mais trop peu considéré

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L’intervention du psychologue dans les Ehpad s’est considérablement développée ces dernières années. Il doit à la fois travailler avec les résidents, les familles et les autres professionnels de la structure. Pourtant, faute de moyens, il n’est que rarement présent à temps plein. Ce qui complique grandement sa mission.
L’avancée en âge n’est pas chose facile. Entre la perte de certaines facultés physiques et/ou intellectuelles, la sensation de solitude, les deuils de proches qui s’accumulent, les personnes âgées souffrent. Souvent, plus psychologiquement que physiquement. Si elles ont tendance à moins s’en plaindre que d’autres, le phénomène est connu. Et à surveiller. C’est pourquoi la présence d’un psychologue est obligatoire en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). Depuis la réforme de la tarification des Ehpad en 1999 (arrêté du 26 avril 1999), ce professionnel fait partie intégrante du projet de vie des établissements. Pour exercer, il suit une formation universitaire classique en neuropsychologie ou en psychologie clinicienne. S’il existe des masters spécialisés en « psychologie du vieillissement » ou en…
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