Recevoir la newsletter

Cpom : une délicate redistribution des rôles

Article réservé aux abonnés

Au 1er janvier 2022, tous les organismes gestionnaires dans les champs du grand âge et du handicap devront avoir signé leur contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens (Cpom). Et d’ici le 1er janvier 2023 pour les centres d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS).
« Le Cpom est un outil qui permet de peser sur l’avenir et sur l’environnement des établissements et services de son périmètre », souligne Pierre-François Pouthier, consultant et gérant du cabinet Fair’Equipe. C’est un investissement de long terme : un Cpom prépare le Cpom suivant. » Adjoint à la directrice du pôle offre sociale et médico-sociale de Nexem, Alexis Roger rappelle : « Depuis 2017, la contractualisation est entrée dans une ère d’industrialisation. La signature d’un Cpom est aujourd’hui soit obligatoire soit très fortement encouragée pour l’ensemble du secteur social et médico-social »(1). Considérée comme « une véritable révolution culturelle et organisationnelle » selon Benoît Péricard, directeur national « secteur public et santé » du cabinet d’audit et d’expertise comptable KPMG, la contractualisation pluriannuelle permet aux organismes gestionnaires…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Management

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur