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Permettre le départ en vacances des plus défavorisés

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Peu ordinaire, l’été 2020 doit pourtant permettre à chacun de s’aérer. C’est la conviction partagée par les acteurs de l’accompagnement social des plus démunis, qui voient dans cet accès aux vacances une occasion de permettre aux familles de rebondir.
Un tiers des Français, dont 3 millions d’enfants, ne partent habituellement pas en vacances, rappelait début juin le ministre de la Ville et du Logement, Julien Denormandie, à l’occasion du lancement d’une opération de communication autour des vacances apprenantes (voir ce numéro, page 12). La proportion devrait croître cette année. D’abord à cause des difficultés économiques rencontrées par nombre de familles. Mais aussi du fait de la fermeture, partielle encore dans les mois à venir, des frontières extérieures à l’espace Schengen : cela privera nombre d’entre elles des séjours dans un pays d’origine où le coût de la vie leur permet d’espérer pouvoir s’offrir des congés.Car bien souvent, le fait de ne pas partir relève moins d’un choix que d’une contrainte, en bonne partie financière. Ainsi, en 2014, une étude du Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Credoc)…
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