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Quand la finance s’implante dans le secteur social

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Importés du Royaume-Uni, les contrats à impact social (CIS) existent en France depuis 2016. L’objectif : faire financer par des acteurs privés des projets « innovants » et expérimentaux dans le champ du secteur social. En cas de réussite, charge à l’Etat de rembourser. Quatre ans après leur lancement, malgré un bilan en demi-teinte, le gouvernement réitère sa volonté de faire fructifier ce mariage entre la finance et le social, et lance un fonds de paiement au résultat.
« Gagnant, gagnant, gagnant. » La promesse des contrats à impact social est séduisante. D’inspiration anglo-saxonne, les CIS ont pour visée de faire financer des programmes sociaux et médico-sociaux par des investisseurs privés – principalement des banques. En cas de « succès » du programme, la puissance publique s’engage à rembourser, avec intérêts, l’investisseur. L’argumentaire du « win-win » est le suivant : l’Etat ne paie qu’en cas de réussite et économise à terme grâce au principe des coûts évités (placement en institution, décrochage scolaire, chômage…) ; les associations, elles, ont enfin les moyens pour déployer leurs actions.Du côté des détracteurs, les appellations…
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