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En 2019, la protection de l’enfance est sortie de l’ombre

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L’Observatoire national de la protection de l’enfance (Onpe) vient de rendre son rapport annuel au gouvernement et au Parlement. Une publication qui intervient dans le contexte particulier de la pandémie de Covid-19. Agnès Gindt-Ducros, sa directrice, rappelle l’importance d’avoir des fondations solides pour construire l’action en protection de l’enfance.
Dans votre rapport, vous évoquez des chiffres importants. Notamment celui des infanticides intrafamiliaux : de 67 en 2017, ils passent à 80 en 2018. Que peut-on en déduire ?En 2018, les forces de sécurité ont enregistré 122 mineurs victimes d’infanticide, dont 80 cas où l’auteur est un parent. Mais on doit attendre l’année prochaine pour voir s’il s’agit réellement d’une tendance ou non. Notre hypothèse est que nous avons une meilleure reconnaissance de ces situations d’infanticides. Cela ne veut pas forcément dire qu’il y a plus d’enfants tués au sein de leur famille qu’en 2017, mais bien que ces décès sont davantage identifiés comme des infanticides. Cela peut être lié à une meilleure formation des professionnels, par exemple pour la détection des cas de bébés secoués ou de faux accidents…
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