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« Si on obtient la condamnation de ces sites, ils renaissent de leurs cendres »

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Jean-Marc Droguet, commissaire divisionnaire et patron de l’Office central pour la répression de la traite des êtres humains (OCRTEH), revient sur les différents impacts des nouvelles technologies sur la prostitution, notamment sur celle des mineurs.
En France, le « proxénétisme des cités », qui touche en majorité des jeunes filles mineures, s’est aussi développé grâce aux nouvelles applications Internet. Comme le note l’étude de l’observatoire des violences faites aux femmes de Seine-Saint-Denis, publiée le 12 novembre, les réseaux sociaux (Snapchat, Instagram, Facebook, Tik Tok) représentent 50 % des lieux d’approche des clients de prostitution. « La moitié des victimes identifiées en 2018 en proxénétisme franco-français dit “de cité” était des mineurs. Il y a urgence avant que ce phénomène ne s’amplifie », alerte Jean-Marc Droguet, commissaire divisionnaire et directeur de l’OCRTEH. Les prostituées sont recrutées sur Internet, les rendez-vous pris via WhatsApp ou par SMS et les passes se déroulent dans des appartements Airbnb ou des chambres d’hôtel. En 2018, la justice a été saisie de plus de 120 affaires de ce type, contre une vingtaine…
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