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Réforme : le secteur médico-social respire

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ENTRÉES EN VIGUEUR LE 1er NOVEMBRE, les mesures liées à l’assurance-chômage n’affecteront pas le médico-social. Un soulagement pour les professionnels, alors que les contrats courts, dont le secteur est un adepte, étaient dans le viseur du Premier ministre, en juin dernier, lors de l’annonce de la réforme. Finalement, l’instauration d’un bonus-malus sur les contributions patronales d’assurance-chômage ne concernera pas le périmètre médico-social.Le système répressif touchera sept secteurs d’activité en 2021. Il vise à dissuader les entreprises de plus de onze salariés de multiplier les contrats à durée déterminée et les missions d’intérim. Onze, c’est d’ailleurs la position actuelle de l’hébergement médico-social et social et de l’action sociale sans hébergement dans le classement des taux d’entrée en contrats de durée inférieure ou égale à un mois (intérim et CDD) par secteur. Un calcul établi par l’Unédic à l’issue des travaux menés lors des négociations avec l’ANI le 28 février 2018, relatives à l’assurance-chômage et pour les diagnostics du recours aux contrats courts par branche. Le tableau montre également que la part importante des taux d’entrée en intérim inférieurs ou égaux…
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