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Une économie associative contre vents et marées

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Baisse des subventions publiques, commande publique incertaine, inflation législative et réglementaire… Entre le « tout public » et le « tout marchand », les associations de l’action sociale tentent de conserver, coûte que coûte, une place de partenaire plutôt que de prestataire.
« La particularité associative est un atout dans un monde qui recherche du sens. Les associations fondent leurs actions sur l’économie humaine, celle qui met l’homme au cœur de ses ambitions », a déclaré Olivier Baron, directeur général de l’Association laïque pour l’éducation, la formation, la prévention et l’autonomie (Alefpa), le 4 juin, à Lille. A l’occasion de ses 60 ans, l’Alefpa, qui gère plus de 130 établissements, services et lieux d’accueil dans 16 départements de France métropolitaine et d’outre-mer, a organisé un colloque sur la place du fait associatif entre le « tout Etat » et la marchandisation. « Il y a un au-delà de l’Etat dans l’ambition associative, mais il y a aussi un au-delà de l’économie classique dans l’ambition associative. Notre économie mérite d’ailleurs mieux que d’être seulement définie par une formule négative, fût-elle encourageante, du…
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