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Bilan d’expérimentation

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Depuis six mois, un dispositif d’astreinte pour la mise en sécurité des femmes victimes de violences conjugales est expérimenté dans le Rhône. Le 8 mars, l’association gérante Viffil SOS Femmes en a dressé le bilan. Vingt-huit femmes et 44 enfants ont été mis à l’abri en urgence, pour cinq nuits prolongeables à dix. Au total, 83 situations ont été signalées par des appels de la police ou de la gendarmerie. Grâce à une astreinte 24 heures/24, tenue par six salariés volontaires, « nous évaluons avec les services de police et de gendarmerie la situation : si l’on craint le passage à un acte grave, nous avons deux chambres d’urgence laissées vacantes par deux associations partenaires », explique Céline Jofferand, directrice adjointe de Viffil. À la suite de la mise en sécurité, « nous mobilisons tout notre réseau ; si nous n’avons pas d’autre solution, le relais se fait à l’hôtel ou en hébergement d’urgence. Notre credo : pas de sorties sèches », précise Élisabeth Liotard, présidente de l’association. Parfois, les femmes « reprennent lien avec la famille » ou regagnent leur logement, si leur conjoint en est éloigné. Durant les nuitées, un accompagnement s’établit et des démarches sont…
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