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« Le non-recours n’est pas une critique du travail social »

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Trois questions à Philippe Warin, directeur de recherche au CNRS et cofondateur de l’Observatoire des non-recours aux droits et services (Odenore).
Les travailleurs sociaux sont-ils suffisamment formés face au non-recours ?Les travailleurs sociaux font déjà beaucoup pour éviter et prévenir le non-recours. Cette non-demande n’est pas du tout une critique du travail social. Pour prévenir au mieux le non-recours, il faut former autrement les professionnels afin d’aller au-delà du diagnostic social habituel, d’être dans une coconstruction de la réponse avec la personne accompagnée, de considérer l’usager comme un contributeur et rendre le travail social plus réflectif. Il y a des changements de représentations qui sont à l’œuvre et qui sont importants. Les formations que l’on développe avec la Fédération des acteurs de la solidarité et des établissements du travail social vont dans ce sens-là. Elles incluent des personnes accompagnées, des formateurs, des travailleurs sociaux déjà en poste et des chercheurs(1). Les travailleurs pairs et le réseau des écrivains publics peuvent également être d’excellents relais pour compléter l’intervention sociale,…
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