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Les aides peinent à combler l’écart de productivité

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Le ministère du Travail a publié une étude sur les résultats économiques des entreprises d’insertion à statut de société commerciale. En concurrence avec les entreprises de droit commun, ces structures présentent une productivité plus faible malgré les aides reçues.
ENTRE COHÉRENCE DU PROJET SOCIAL ET VIABILITÉ ÉCONOMIQUE, les entreprises d’insertion cherchent leur équilibre. Elles ont vocation à insérer les personnes en marge du marché de l’emploi, d’agir comme tremplin et non comme fin en soi. Elles n’en demeurent pas moins soumises à la concurrence des entreprises de droit commun. La direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) a publié, le 31 janvier, une étude pour mesurer l’écart entre leurs résultats économiques et ceux des entreprises dites « classiques ».L’étude porte seulement sur les entreprises d’insertion ayant le statut de société commerciale (EISC) – par opposition aux entreprises d’insertion associatives. Celles-ci sont « assez semblables à des entreprises de droit commun en termes d’exigences économiques ». Le constat est clair : « La productivité apparente du travail des EISC est plus faible…
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