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Une dépense qui se veut utile

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Annoncée le 13 septembre, la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté vise avant tout à ramener les personnes vers l’activité, sans engager de dépenses supplémentaires pour augmenter les minima sociaux, hors prime d’activité, dans une logique de retour sur investissement.
« Le nouveau visage de la pauvreté est préoccupant », martèle l’Elysée, lors d’un briefing en amont de la présentation officielle de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté. « Il est incarné par trois millions d’enfants, un tiers des familles monoparentales, cinq millions de personnes éligibles à l’aide alimentaire. Et notre système social contient cette pauvreté mais ne rompt pas sa reproduction. » Ayant constaté que l’ascenseur social était bien en panne – une étude de l’Organisation de coopération et de développement économiques estimait en juin qu’il fallait six générations en moyenne, soit 180 ans, pour qu’un descendant de pauvre atteigne le revenu moyen –, l’exécutif a fondé sa stratégie sur deux axiomes : « prévenir la pauvreté » pour éviter sa transmission générationnelle, et « remettre l’emploi au cœur des minima…
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