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L’aide humanitaire est-elle un crime ?

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Après la saisie de l’Open Arms, navire de l’ONG espagnole ProActiva, ordonnée par un procureur italien, dimanche 18 mars, SOS Méditerranée est aujourd’hui la seule organisation humanitaire à patrouiller en Méditerranée. Une « criminalisation de l’aide humanitaire » insupportable pour l’ONG.
« Une nouvelle étape franchie dans la criminalisation de l’aide humanitaire en mer. » C’est en ces termes que l’organisation non gouvernementale (ONG) franco-allemande SOS Méditerranée, dédiée au sauvetage des réfugiés, évoque dans un communiqué l’enquête récemment ouverte par le procureur de Catane contre l’ONG espagnole ProActiva du chef d’« association criminelle visant à faciliter l’immigration clandestine ». En cause, le débarquement en Sicile de 218 personnes, que ProActiva avait refusé de livrer aux garde-côtes libyens. Une attitude contraire, selon les magistrats italiens, au code élaboré par l’Italie et signé à contrecœur par la plupart des ONG dédiées aux sauvetage en Méditerranée en août 2017.« Tout l’hiver, l’Open Arms et l’Aquarius ont été les seuls navires d’ONG à mener des opérations de recherche et de sauvetage en mer en continu, combinant…
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