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Des unités psychiatriques pointées du doigt

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En octobre dernier, le contrôleur général des lieux de privation de liberté a fêté ses dix ans. Cette institution porte un regard extérieur et totalement indépendant du pouvoir exécutif sur les situations des établissements d’enfermement : les prisons, bien sûr, mais aussi les établissements de santé mentale, les centres de rétention administrative et les centres éducatifs fermés.
Cette année, Adeline Hazan, la contrôleure générale des lieux de privation de liberté (CGLPL)(1), appelle en particulier les décideurs politiques à avoir le « courage de prendre les mesures qui s’imposent pour que l’Etat de droit ne s’arrête pas aux portes des lieux de privation de liberté ». En effet, « le suivi réalisé par le CGLPL montre une réelle difficulté d’appropriation des recommandations par les pouvoirs publics, alors même que celles-ci changent très peu d’une année sur l’autre. En dix ans, un changement majeur, qui n’est pas uniquement sémantique, s’est progressivement installé : la notion de “dangerosité” a remplacé peu à peu celle de “culpabilité” », s’inquiète la CGLPL, qui a visité 148 établissements en 2017.Un manque de cohérence au sein des établissements…
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